Nous allons procéder à la réfection de la dalle de béton du niveau -3.
Les travaux commenceront lemardi 29 mars et se termineront vers la fin du mois de juin.
Veuillez nous excuser des dérangements que cela va occasionner.
Nous vous remercions pour votre compréhension.
On pouvait s’en douter en voyant les files de voitures sur les routes ce week-end: le Salon de l’auto a fait, comme d’habitude, le plein de visiteurs. Dimanche soir, à l’issue de ces dix jours de manifestation, on comptabilisait 687 000 entrées, un résultat presque identique à 2015 (+0,7%), selon un communiqué de presse. Découvrez-en plus sur cet événement genevois incontournable…
Source : TDG
Crédits photos : © Olivier Vogelsang / Tamedia
Unitronics is expanding its hold on the US automated parking market, offering a game-changing solution for cheaper, greener, more efficient carparks.
Conventional parking garages are an environmental failure, taking up lots of land and resources to build and maintain, not to mention the gasoline wasted as waiting cars idle and then troll for a vacant spot and maneuver into and out of it. Unitronics Group reimagined the whole scenario to look like this: Drive your car into a 20-by-20 foot entry bay, turn off the engine, lock up, take a ticket and go on your way. The rest of the process is fully automated. Read more…
Source : http://www.israel21c.org/
Photo credits : Courtesy
Le 19 janvier dernier et ce pour la cinquième année consécutive, PARKGEST a mis à disposition du Service d’incendie et de secours de la ville de Genève, le parking du Mont-Blanc pour la mise en œuvre de l’exercice « feu » annuel. De par sa taille et sa localisation – à l’écart des habitants – le parking offre un terrain d’entrainement idéal, très apprécié des formateurs du SIS.
L’exercice « feu » réalisé en situation réelle permet de tester les phases d’engagement et de commandement dans le cadre d’un feu de parking et de sous-sol en général. Tout est passé en revue, les dispositifs d’extinction, les procédures de sauvetage, la ventilation de la fumée ainsi que la mise en place d’un poste médical avancé pour la prise en charge des blessés. Bien que réservé aux professionnels du feu, les contrôleurs PARKGEST bénéficient aussi de cet entrainement spécifique.
Monsieur Guillaume BARAZZONE, Vice-président et Conseiller administratif en charge du département de l’environnement et de la sécurité ainsi que Madame Stéphanie STURZENEGGER, Directrice du département, se sont rendus sur les lieux dans le but de mieux appréhender le dispositif et les méthodes d’intervention.
Pour la première fois, à l’initiative des officiers du SIS, l’exercice « feu » réalisé dans le parking du Mont-Blanc s’inscrivait dans une semaine plus large de formation tout à fait unique au profit de commandants d’opérations de secours (COS). Ainsi, des officiers du Canton de Vaud, Neuchâtel et des Montagnes Neuchâteloises mais également la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris ont pris part à une série d’exercices plus spectaculaires les uns que les autres, réalisés sur un bateau, dans une prison, au sein d’un EMS, au CEVA dans le tunnel de Champel ou encore sur une autoroute.
Ce type de formation difficile à mettre en place, car nécessitant des moyens assez exceptionnels tant humains que matériels, a été plébiscité par toutes les parties prenantes.
La Direction générale des transports est impliquée dans des programmes de recherche et développement. Objectif: profiter des techniques dernier cri pour traquer et fluidifier le trafic.
Genève est en passe de devenir un terrain d’expérimentation, grandeur nature, pour les nouvelles méthodes de gestion du trafic qui sont élaborées à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL). Depuis l’an dernier, le canton du bout du lac est partenaire du Laboratoire des systèmes de transport urbain de l’EPFL, dans le cadre d’un programme de recherche européen.
Son but? Fluidifier la circulation en révolutionnant le maniement du bon vieux feu rouge. Au lieu de programmer chaque carrefour à signalisation lumineuse comme un élément isolé, ou une ligne de carrefours comme on le fait pour créer des ondes vertes, on orchestrerait cette régulation au niveau d’un secteur urbain entier. L’EPFL fait ainsi désormais équipe avec la Direction générale des transports (DGT) qui mène en parallèle d’autres expériences, validées par le ministre de tutelle, Luc Barthassat. «Les chercheurs ont constaté dans certaines villes que les bouchons suivent une logique mathématique, qui est modélisable, explique Alexandre Prina, directeur de la planification à la DGT. La congestion démarre en un point, puis elle se propage dans le réseau.»
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Source : www.tdg.ch
Crédit photo : Pierre Abensur
Inauguré mi-janvier à Paris, le nouveau réseau « Belib » peut recharger des véhicules électriques en 1 heure. Cette recharge « accélérée » paraît toutefois encore bien lente par rapport au système imaginé par des chercheurs de l’École Polytechnique de Lausanne (EPFL). Explications.
Un stockage « tampon » pour pouvoir accélérer la recharge
Il existe aujourd’hui différents types de recharges pour voitures électriques, plus ou moins rapides en fonction de la puissance de charge. Les bornes de recharge « accélérée » du réseau parisien Belib’ (par prise CHAdeMo) permettent par exemple de recharger un véhicule en 1 heure, soit près de 7 fois plus rapidement que les bornes de recharge « standard » grâce à la plus grande puissance de charge (22 kW contre 3 kW).
Des chercheurs de l’EPFL ont calculé la puissance théorique nécessaire pour recharger une voiture électrique aussi rapidement qu’une voiture thermique en diesel. Selon leurs calculs, cette recharge d’une minute trente nécessiterait une puissance instantanée de 4,5 MW (soit 4 500 kW), soit autant que pour alimenter plus de 3 000 lave-vaisselle, qui ne pourrait être supportée par les batteries des véhicules électriques. De plus, si de nombreux véhicules étaient rechargés en même temps à cette vitesse, l’appel total de puissance serait susceptible de provoquer des perturbations sur le réseau de distribution électrique.
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Source : www.connaissancedesenergies click for more.org
Crédit photo : © EDF – Bruno Conty
Selon qu’elles sont passives, semi-autonomes ou totalement autonomes, les voitures n’ont pas toutes le même niveau d’intelligence. Pour les différencier, il existe un classement officiel édicté par l’Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles (OICA).
La voiture autonome est une réalité qui roule déjà sur nos routes en test pour l’instant. Qu’ils s’appellent Google, Tesla, Ford, Daimler-Mercedes, KIA, Peugeot-Citroën, Bosch, Delphi ou Valeo, tous les acteurs sont prêts. Ne reste plus qu’à faire changer les lois des pays et surtout la Convention de Vienne de 1968 qui précise qu’il y a obligation d’une présence humaine, un conducteur derrière le volant. La voiture ne doit pas se substituer à l’humain. En attendant que les politiques se décident, certains organismes comme l’OICA (l’Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles) ont décidé de mettre noir sur blanc les « niveaux d’automatisation » des véhicules, autonomes ou pas. Ceci afin d’éviter « tout malentendu ». Cette harmonisation des niveaux d’automatisation « permet de créer une compréhension commune pour les institutions gouvernementales, les organismes de réglementation, les équipementiers, les fournisseurs… ». Dans cette classification, sont abordés les aspects juridiques et techniques. Le premier pour d’éventuelles « modifications ou clarifications des lois nationales et internationales » et le second permettant un classement « des fonctions de conduite automatisée par rapport à la sécurité fonctionnelle ».
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Source : www.lesnumeriques.com
Crédit photo : Citroën
CEO du groupe PARKGEST depuis juillet 2011, il mène avec succès le programme de modernisation qui a motivé son recrutement. Sept questions pour en savoir plus sur ce qui anime Thierry d’Autheville.
Thierry, vous avez effectué la majeure partie de votre carrière au sein de deux groupes mondiaux, KPMG, puis Caterpillar. En quoi le projet PARKGEST vous a-t-il séduit ?
Les compagnies internationales excellent dans l’approche processus. J’y ai puisé mon expérience dans la conduite du changement. Aujourd’hui, je ne boude pas mon plaisir d’appliquer ce savoir-faire à une entreprise dont le modèle économique est fondamentalement orienté « client ».
Une vision managériale anglo-saxonne, en quelque sorte ?
Plutôt un cocktail d’ingénierie helvétique, de pragmatisme européen et d’agilité américaine, au service des usagers, de l’efficience des processus et de la motivation de nos équipes.
Quels sont précisément vos enjeux ?
Ma mission consiste à faire évoluer nos infrastructures pour en faire des modèles de confort et de sécurité, à valoriser notre réseau d’affichage publicitaire et à démontrer par la pratique nos compétences dans la gestion et la commercialisation de parkings.
Quel plan de travail avez-vous déployé pour une tâche aussi large ?
J’ai opté pour une stratégie tricéphale :
1. L’amélioration globale de l’offre par la modernisation des infrastructures et de l’organisation. Notre navire-amiral, le parking du Mt-Blanc est un banc d’essai idéal pour la mise en place de nouveaux services, d’animations et d’innovations technologiques. Nous suivons également une démarche courtoise, avec des zones sécurisées pour les femmes (réseau vidéo multiplié par 4 en 2015), privilégiées pour les personnes à mobilité réduite, (places plus larges et surveillance accrue), et pratiques pour les véhicules électriques (mise à disposition de bornes de recharge dans le premier trimestre 2016). Nous avons installé un très efficace système de guidage lumineux vers les places libres ;
2. La valorisation du groupe PARKGEST en tant que marque. De là sont nés une nouvelle identité visuelle appliquée aux unités opérationnelles, un site Internet « plateforme « doté d’un blog dédié à notre actualité et plus largement à celle de notre secteur d’activité. Nous souhaitons ainsi nous fixer en référent du marché et faire mieux connaître la diversité des compétences exigées par notre métier ;
3. Un catalogue de prestations allant de la conception de parkings à leur gestion et entretien. Nous avons des contacts avancés avec plusieurs communes et institutions. Nous lancerons en 2016 une campagne d’information pour renforcer notre présence sur ce marché particulièrement sélectif. Notre expérience presque cinquantenaire est un atout, tout comme notre capacité à démontrer en temps réel la pertinence de nos processus.
Quels sont les points marquants dans la liste de vos priorités ?
La sécurité avant tout. Nous misons sur la rapidité d’intervention, avec l’utilisation de Segway pour les rondes, mais aussi sur la clarté signalétique et la visibilité de notre personnel de sécurité, grâce à l’adoption d’un uniforme et de véhicules de services à nos couleurs.
Notre Hub de contrôle sera entièrement rénové durant le premier semestre, par la mise en place d’une unité d’alarme ultra moderne et d’un système audio-vidéo performant pour communiquer avec les clients de tous les parkings.
Au-delà de vos murs ?
Nous contribuons chaque année à l’organisation du Genève Marathon for UNICEF. En 2015, nous avons soutenu le gala de la fondation Dr Henri Dubois Ferrière / Dinu Lipatti. Pour 2016, nous vous donnons rendez-vous à la soirée caritative pour la fondation BLACKSWAN, qui aura lieu à Palexpo le 23 avril prochain.
Quel message adressez-vous aux usagers de vos parkings, pour l’année 2016 ?
Nous souhaitons vous offrir une prestation répondant aux exigences modernes, qui fera que vous ne viendrez pas chez nous par hasard !
Thierry d’Autheville : portrait
Âgé de 50 ans, franco-suisse, marié et père de 2 garçons, Thierry d’Autheville est titulaire d’un Master de l’Institut des Hautes Études économiques et commerciales de Bordeaux (INSEEC).
Après cinq ans passés chez KPMG, à Genève et Amsterdam, Thierry d’Autheville consacre seize ans de sa carrière à Caterpillar, pour qui il a notamment géré l’ensemble du support commercial des activités de Caterpillar Europe, Afrique & Moyen-Orient.
D’ici quelques années, nos voitures seront autonomes. Par conséquent nous ne devrons plus passer des heures à chercher un emplacement dans nos villes bondées et nous ne devrons plus jamais payer d’amendes pour stationnement.
Bien que ces projets semblent réalistes, à ce jour, nous devons employer la méthode classique et abandonner notre voiture aux vents et aux pluies. Il existe toutefois des alternatives à ces comportements barbares…
Découvrez ICI quelques exemples séduisants
Source : blog.autoscout24.fr
Le journaldudesign.fr vous présente ce magnifique parking inspiré de l’univers de James Bond, situé à Herdern en Suisse allemande, nous devons cette création rétro futuriste à l’architecte Peter Kunz.
L’alignement des cubes de béton évoque une installation contemporaine dont l’effet sculptural s’intègre à la nature environnante.
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Photos © Peter Kunz Architects
